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Transgénérationnel et Responsabilité

« Tu es comme ton père ! », « Tu es comme ta mère ! ». Cette phrase peut faire grincer…Et pourtant, la génétique commune de nos parents crée un point de départ à la nôtre, tout comme

la génétique de nos parents est la somme de celle de leurs parents, et ainsi de suite, nous sommes le prolongement, d’un point de vue biologique la somme de nos ancêtres. Toute ces mémoires sont stockées dans notre génome, codé dans notre A.D.N, dans chacune de nos cellules. Alors, que cela nous plaise ou non, notre génétique est la suite logique de nos ancêtres, le maillon suivant.


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La matrice maternelle comme est une porte d’entrée dans ce monde physique, un portail dans la matière, duquel découle un corps certes, mais un corps programmé avec tout le code transmis par les mémoires des corps de nos parents, qui eux-mêmes ont été constitués des mémoires de leurs parents, etc….. Ca en fait du monde ! Ca fait tout un monde ! Ça fait notre monde, notre point de départ dans cette vie. Mais cela n’est pas définitif.  Plus vite nous l’acceptons, plus vite nous pouvons nous en détacher, le modifier, le transmuter, car comme pour tout, il ne peut y a voir de transformation sans acceptation.

Et si nous n’étions pas victime de notre génétique mais au contraire, si nous l’avions sélectionnée exactement pour l’expérience que nous étions venu vivre. Un véhicule adapté au terrain que nous sommes venus explorer. Ce terrain, ce chemin, c’est nous-même, nous sommes le chemin, nous sommes le début, nous sommes le but, nous sommes la destination.  Nous avons donc opté pour un corps muni des options nécessaires à notre parcours d’âme, ce que nous sommes venus vivre comme expériences.

Sans doute allons-nous choisir des parents pouvant nous prodiguer le meilleur patrimoine génétique pour accomplir l’apprentissage choisi, d’un point de vue physique, émotionnel, mental et spirituel. Par exemple, si l’âme vient vivre des expériences de justice et d’injustice pour intégrer une vision de la justice équilibrée, neutre, au point zéro (qui est un état d’équilibre) quoi de mieux qu’avoir dans notre patrimoine génétique des mémoires d’avocats, des policiers, de juges, mais aussi de brigands, de personnes accusées à tords, d’imposteurs, de victimes en tout genre, de bourreaux ou de justiciers. Ainsi nous aurons un bel échantillon de points de vue de la justice, nous permettant de colmater notre blessure d’injustice. Donc, nous allons expérimenter l’injustice sous plusieurs angles en bénéficiant des données des expériences déjà vécues, par nous ou nos ancêtres. Il suffira de décorréler les émotions enregistrées lors de ces expériences de l’expérience elle-même.

Tout ceci pour dire que l’on peut passer une vie entière à maudire notre génétique, nos parents et leurs défauts, ou accepter que nous ayons reçu le véhicule adapté selon notre plan de voyage. Il peut bien entendu y avoir des parasitages, des attaques énergétiques rendant nos corps en mauvais état, mais ceci fait-il justement partie du plan de route pour nous apprendre à ne plus être squattables, parasitables ou attaquables ? Si oui, nous n’avons plus qu’à accepter que nous sommes exactement là où nous devons être, dans l’état physique, émotionnel, mental et spirituel dans lesquels nous sommes.

Nous sommes là où nous sommes car nous vibrons, nous résonnons, nous chantons une musique qui nous est propre. Pour cesser d’être là où nous sommes, ou nous en sommes, inutile d’aller quelque part, il suffit de laisse venir plus de ce que nous sommes au-delà de cette expérience d’incarnation, notre essence, notre fréquence céleste, le chant de la Vie, notre lumière. Plus elle nous remplira, moins sous serons squattables, attaquables. Plus nous vibrerons de hautes fréquences, plus nous accèderons à des dimensions élevées de nous-même. En fait, nous n’allons jamais vraiment quelque part, puisque tout est vibration, nous sommes une fréquence, que nous pouvons syntoniser sur ce que nous voulons. Si nous voulons expérimenter le sombre, c’est exactement comme lorsque nous regardons un film d’horreur, nous baissons nos fréquences pour avoir des frissons, même si nous savons qu’il s’agit d’un film. Est-ce exactement ce que nous faisons en nous incarnant ? Baissons-nous nos fréquences pour devenir matière et frissonner ?

Dans l’autre sens, pour expérimenter le lumineux, il s’agit juste de changer de chaîne, d’aligner notre vibration, qui est la télécommande, sur du lumineux, ce qui nous donnera accès à une dimension supérieure, soit une fréquence plus élevée. Ainsi nous sortons du film d’horreur, du film dramatique et la personne figée regardant la catastrophe arriver se transforme en être créateur choisissant de se défiger, de défiger les mémoires cristallisées en elle. Ainsi, malgré le fait d’avoir été conditionnée à obéir, à plaire, à répondre aux attentes, à donner LA bonne réponse car nous avons appris qu’il n'y en avait qu’une, nous remettons en doute tout ce conditionnement et cherchons les réponses en nous. Ces réponses changeront au fur et à mesure que nous montons en vibration. Ainsi, notre vérité d’hier ne sera plus notre vérité de demain. La certitude crée la réalité, la fige, alors que l’incertain permet aux idées nouvelles d’émerger de nous. Ainsi, si nous sommes certains que la vie est dure, qu’il faut faire de longues études pour gagner sa vie, que la santé se mérite, que l’amour nécessite d’avoir de la chance, que la confiance se gagne, et bien tout ceci deviendra notre réalité. Si nous nous ouvrons au fait que la Vie coule à travers nous, que nous sommes la Vie, des courants de vie, si nous avons la fois de mériter tout l’Amour du monde car nous sommes Amour, nous sommes la Vie, la Source de Vie. Il n’y a donc plus rien à faire, tout à laisser être, laisser émerger de nous, sans le vouloir, juste en le permettant.

Et là, nous devenons responsables. Ce qui n’est surtout pas être raisonnable, poli, adapté et surtout pas coupable. Il s’agit plutôt de prendre l’entière responsabilité de tout ce que nous sommes. Dans ce sens, si nous avons un pli que nous n’aimons pas, au lieu d’accuser papa et maman pour nous l’avoir transmis ou appris, remercions-les plutôt de nous avoir permis de visiter ce coin là de notre monde. Oui, j’entends déjà certaines résistances, mais alors, certains auraient choisi de vivre sans parent, abandonnés, ou d’être violentés, mal traités, non aimés ? Et bien…. Et si c’était oui?  Qu’y aurait-il d’effrayant à ça ? Serait-ce le choix ? La liberté ? Il est vrai que vouloir être libre et oser l’être, c’est tout un monde de différence.…

Je vous invite à effacer une confusion courante, la croyance qu’être responsable c’est être coupable. La culpabilité est un poison utilisé pour dominer, généralement c’est celui qui est incapable de culpabiliser qui va utiliser cette arme contre celui qui le peut. L’insensible manipulant l’hypersensible. Mais l’hypersensible s’arrange bien de cette situation, car sa sensibilité lui fait justement vivre des drames, des frissons, mettant de l’action, du mouvement du divertissement dans sa vie. Un tel m’a dit ça, un autre m’a fait ça, j’ai souffert de ceci, je suis victime de cela. Ces faits ont beau s’être passé il y a de nombreuses années, ils sont maintenus dans le présent par la mémoire émotionnelle et mentale, par la souffrance recassée, par le besoin de vengeance, de justice, de pardon.  Pour s’en libérer, il suffit de cesser de recasser, de comprendre que la vengeance nous l’exerçons contre nous en nous culpabilisant au lieu de nous pardonner. Nous pardonner non pas parce que nous avons payé le prix, ça c’est de la culpabilité, du karma. Nous pardonner parce que nous n’avons jamais été coupables, nous avions simplement opté pour nous rendre coupable plutôt que responsable, nous avions rendu les autres coupables plutôt que d’avoir pris notre responsabilité. Cette responsabilité n’est autre que l’acceptation que nous sommes totalement responsable de nos réactions émotionnelles, nos peurs, nos colères. Nous ne sommes pas responsables des actes des autres envers nous, mais nous sommes responsables de nos réactions, de la vision, du jugement que nous en avons, de croire que cela nous concerne, d’y réagir, au lieu d’y voir une non-responsabilité de l’autre. Ainsi, ce sont deux irresponsables en interactions. Si nous devenons responsables de nos pensées, en sortant du jugement, nous nous libérons de toutes les émotions qui en découlent. Est si le jugement dernier se transformait en dernier jugement ?

Ce que nous jugeons chez les autres n’est rien d’autre que ce qui n’est pas résolu chez nous, par effet miroir. Pour sortir de ceci, mieux vaut le voir et l’accepter chez nous, réintégrer cette part rejetée de nous. Cette part de nous, une fois réintégrée, pourra reprendre sa place et cesser de tout faire pour être vue et reconnue, elle pourra se syntoniser avec notre vibration. Les compétences lumineuses de cette part de nous pourront alors s’exprimer. Par exemple, si nous réintégrons la part timide, elle pourra nous aider à être présent sans prendre trop de place, car nous n’aurons plus besoin de compenser par un excès de confiance dans un groupe les fois où nous en manquons dans un autre. Réintégrer toutes les parts de nous nous comble et nous équilibre. En résumé, ce que nous pensons ou ce que nous faisons n’est pas si important, ce qui compte, c’est de quelle fréquence, de quelle énergie est produite cette pensée ou cet acte. Seul l’Amour véritable en fera un acte ou une pensée d’amour. C’est-à-dire, détachée d’une attente, d’un résultat, d’un accord, d’une promesse, d’un retour, d’une validation.  Sinon ça ressemble à de l’Amour, mais c’est de l’amour mentalisé, conceptualisé, conditionné. Si personne ne savait ce que nous avons fait, le ferions-nous quand même ? Ou est-ce notre ego qui nous pousse à montrer notre sauveur, notre héro ? Pouvons-nous être un héro si personne ne le sait ? Un héro n’agissant pas pour la reconnaissance ou la gloire ? Et bien c’est pour moi la définition d’un parent, agir pour le plus grand bien de l’enfant, sans attente, sans chercher à modeler l’enfant, le laisser être qui il est, lui laisser le temps de savoir qui il est, tout en se le laissant être qui nous sommes en osant révéler nos ombres, comme un négatif en noir et blanc pourra révéler une photo de nos couleurs, pour voir où nous en sommes. Où nous en sommes n’est pas un endroit, ni un chiffre mesurant notre réussite matérielle, il s’agit d’une vibration que nous émettons aimez-ton, le ton que nous aimons, la fréquence de notre Amour, ce qui nous permet de mesure à quel point notre Amour est encore conditionné par tout ce que nous avons appris, accepté, ce à quoi nous avons cru et adhéré. Pour monter sa vibration, il n’y a pas d’effort physique ou mental à faire, il s’agit au contraire de ne plus chercher à comprendre mentalement ou physiquement la Vie, il s’agit de maintenir notre état d’ouverture à la Vie, un état de disponibilité à ce qu’elle nous offre. Car elle ne nous offre que ce que nous pouvons recevoir, que ce que nous croyons valoir. Osons désapprendre qui nous croyons être pour nous ouvrir à ce que nous sommes vraiment, un être de lumière, la Conscience incarnée.

Maintenant,  mains tenant, tenir dans nos mains, mais tenir quoi ?  Maintenant, l’instant présent, tenir le présent, le présent de la vie, le cadeau de la Vie, tenir la fréquence de la Vie, tenir la note, le ton, la vibration.

Comment savoir, ça-voir que nous maintenons cette fréquence ? Sommes-nous comblés de la Vie, de bonheur, de bonnes heures ? Et cela par nous-même, sans nul besoin de rien ni personne pour nous combler ?  Pour nous faire vibrer ? Vibrons-nous cela même si personne ne le sait, ne le voit, ne le valide par un pouce en l’air, par un bravo ?

Pour cela, il sera essentiel de sortir du triangle infernal de victime bourreau sauveur, car en prenant la responsabilité personnelle de nos émotions, de nos réactions à ce qui nous arrive, nous acceptons d’incarner pleinement l’Être créateur que nous sommes. Nous cessons d’être victime des autres ou des circonstances, nous cessons d’accuser des soi-disant bourreaux pour ce qui nous arrive, y compris nous-mêmes et nous cessons d’attendre un sauveur la bouche ouverte tel un oisillon dans un nid, totalement dépendant du retour de ses parents. Nous devenons un parent pour nous même, capable d’autonomie et de voler de nos propres ailes. Pourquoi ? car si nous sommes responsables de ce qui nous arrive, cela signifie que nous pouvons le changer. Et l’outil pour cela sera notre vibration. Plus elle sera haute, plus nous aurons un point de vue en hauteur, donc un angle plus large, plus éclairé. Plus elle sera basse, plus nous aurons un angle de vue fermé, plus nous serons réactifs car nous serons pris par surprise et manquerons de recul. Ceci fait que notre champ de visions est obstrué par le problème lui-même. Il devient alors compliqué de ne plus y penser, puisque nous l’avons sous le nez et les yeux en permanence. Le problème devient notre vision du matin au soir, devient une habitude, une croyance, devient notre vision de la Vie, deviendra notre vérité car il exclut la possibilité de voir autre chose. Si nous focalisons dessus, l’énergie allant là où nous regardons, nous nourrissons le problème, nous le faisons grossir et nous ne le voyons que plus, jusqu’à devenir plus grand que nous, alors nous n’en voyons plus les contours, nous n’en voyons plus les limites, nous n’en voyons plus la fin, il obstrue carrément la vue de ceux qui nous entoure. Nous devenons donc toxiques, nous polluons l’espace autour de nous et ceux qui en font partie. Les autres doivent alors lutter contre notre point de vue pour le faire diminuer, pour nous faire voir les choses autrement pour que nous cessions de cacher leur vision de leur propre chemin. Ceux qui préfère ne pas lutter contre notre toxicité sortent de nos vies. Et la solitude nous force alors à faire face à cette énorme bulle de problème, incapable de la distinguer tellement elle prend tout l’espace, nous pensons carrément qu’elle, c’est nous, nous devenons le problème. Un sentiment d’isolement et d’impuissance s’ensuit. Les enfants vivants cela peuvent penser être la cause du malheur des autres, ils pensent en être responsable. Et la fausse vision de la responsabilité se perpétue ainsi de génération en génération. Si personne dans la lignée décide de cesser de porter ce point de vue, si personne n’a la Conscience pour s’élever, le risque est que si celui qui pense être le problème, veuille tuer le problème, et comme le problème c’est lui….

Encourageons-nous à élever nos points de vue, sortons du jugement, du juste et du faux, du bien et du mal, les deux se complètent, prenons de la hauteur. Comment ? En montant sa vibration, en respirant, en prenant du recul sur le problème, en le dissociant de nous, il n’est pas nous, il est un point de vue de ce que nous avons créé car nous avons cru à nos peurs, à notre culpabilité. Nous avons été frustrés de pas pouvoir changer les choses car souvent nous avons voulu changer l’extérieur, les autres. Mais personne ne peut vraiment changer personne, pire, lorsque nous cherchons à changer les autres, même avec les meilleures intentions, c’est comme mettre du vinaigre sur une plaie dont ils n’ont peut-être même pas conscience, ils vont penser vivre de l’agression gratuite et méchante car incapable de voir leur blessure, ils chercheront donc à se protéger et se défendre en nous fuyant ou en nous attaquant.

D’où l’importance de la responsabilité personnelle, changeons-nous et notre monde changera. Nous sommes le créateur, le divin. Et lorsque nous sommes incarnés, nous sommes aussi la créature. Si nous sommes la vie, choisissons-nous que le Vie soit un problème à résoudre ou une équation menant vers l’inconnu ? Nous ramenant vers l’un connu ? Osons nous élever, monter en fréquence pour avoir un point de vue plus éclairé, augmentons la fréquence des moments vécus en Conscience, en confiance, en respect, en paix, en non-jugement, en foi, car plus ils seront fréquents, plus ils seront naturels jusqu’à devenir notre état vibratoire permanent, quoi qu’il arrive, car tout est relatif.

Donc, si je reprends la phrase du début : tu es comme ton père ou ta mère, et bien disons OUI ! Et alors ? Il faut bien partir de quelque part dans cette vie, et bien je suis parti de là. Que vais-je en faire ? Que vais-je transmuter pour devenir ce que je veux être ? Tout ceci sera intégré, dans mon coffre d’outils accessibles en tout temps. Et oui, tous temps, y compris le passé, car cette transmission de génération en génération crée une continuité, une grande chaîne pleine de maillons représentant chaque individu. Cette chaîne peut soi nous emprisonner dans des interdits, des limitations, des obligations, des peurs, de la culpabilité, qui se transmettent de génération en génération, alors nous traînons cette lignée tel un boulet. Mais cette chaîne peut aussi être perçue comme une machine à remonter le temps, un pont entre les époques et les différents lieux d’incarnation, comme un portail. Donc, lorsque nous cessons de lutter pour nous défaire de ces chaînes, nous pouvons les utiliser comme un transmetteur et faire remonter l’info de tout ce que nous avons réussi là où nos ancêtres avaient échoué…. et vice versa !

Du fait de cesser de résister, nous pourrons accéder à tous les trésors de notre lignée, en cessant de croire que nous sommes le maillon fort et eux les maillons faibles, nous pourrons apprendre d’eux et eux de nous. Certains diront : « ça leur servira à quoi, puisqu’ils sont morts ! » Et bien c’est là que si nous sortons de l’illusion du temps, du passé, du présent et du futur, nous pouvons transmettre ses nouvelles informations à nos ancêtres qui en bénéficierons dans tous leur temps et toutes leurs incarnations, autant que nous. En résumé, ce que nous intégrons est utile à nous, dans toutes nos incarnations et dans notre multi-dimensionnalisé, c’est-à-dire dans toutes les dimensions de nous-mêmes, de la plus dense à la plus subtile, ainsi qu’à tous nos ancêtres et nos descendants qui transmettrons ceci à toutes leurs incarnations et leur multi dimensionnalité. Tel un réseau neuronal, de nouveau circuits seront créés, pour le plus grand bien de tous. La Conscience collective en est changée et le passé, le présent et le futur en est transformé. Ce n’est pas motivant ça ? Plutôt que de rester sur des positions de replis, de victime de ce que papa et maman nous ont fait, pas fait, donné, pas donné ? Alors haut les cœurs et ACCEPTONS que nous portions les mêmes parts sombres qu’eux. Si nous les mettons en lumière par nos prises de Conscience, en les observant, nous leur redonnons le droit d’exister, d’être aimé et d’être transmutée. On ne peut pas changer les autres, mais en se changeant soi, on leur envoie une nouvelle information et le changement peut se faire… ou pas.

Maintenant, voyons qui aurait intérêt à ce que nous passions des vies entières à nous préoccuper de nos relations, de nos parents, de nos traumas, en les couvant ? Tous ceux qui tirent profit de notre tristesse, notre souffrance, qui nous rendent impuissants. Il y a les entités, des égrégores, qui ont pris vie par les pensées des uns et des autres au sujet de tout et qui sont faits de croyances qui ne veulent pas mourir, alors, tels une créature, ils ont pris vie par le courant électrique de nos pensées qui les nourrissent car, nous sommes leurs créateurs. Il y a ceux qui vendent des remèdes à nos blessures, des assurances à nos peurs, des vacances à notre fatigue, du maquillage à notre inauthenticité, des substances à nos dépendances, des prêts à nos besoins de compensatoires, des emplois à notre insécurité. Ainsi nous sommes de bons employés, de bons patients, de bons consommateurs, de bon élèves…de bons esclaves.

Alors osons désapprendre, osons avoir de nouveaux points de vue, osons accepter notre héritage ce que nous avons reçu de nos ancêtres, autant la sagesse que le reste auquel nous faisons de sérieux travaux de transformation, faisons de ce trans gêne et rationnel, de la Conscience.

Si nous luttons pour éviter d’être comme nos parents, nous luttons pour fuir quelque chose qui est déjà là, en nous, dans le cœur de notre A.D.N. Osons lui faire face, lui donner la parole, l’exprimer, le laisser éclore et se transformer. Et le cadeau en prime, nous serons tous gagnants. Alors inutile de vouloir être indépendants, forts, mieux, car nous jouons le jeu de la survie, le jeux du combat, le jeu de l’égo. Osons être autonome, osons demander de l’aide et s’entraider, osons laisser cette énergie de Vie nous remplir intégralement, osons être égaux « aux » et non égos « os ». Et si nos parents n’ont pas su faire, soyons ce parent aimant pour nous-même, de manière autonome, montrons l’exemple et nous en serons de meilleurs parents pour les générations futures, desquelles il se peut que nous fassions partie dans un nouveau tour de réincarnation.

 
 
 

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