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Eau secours!

 

Symboliquement l’eau imprime, elle imprime le ciel sur la terre, elle est un miroir du ciel sur la terre, et comme tout miroir est un portail, l’eau de notre corps est un portail, un pont entre le ciel et nous, entre notre nature des étoiles et notre nature humaine.


Le puis de la sagesse, représente l’eau pure, cristalline, divine, non souillée qui repose dans la profondeur de la terre au pied de l’arbre maître, l’arbre de vie. Ce puis représente l’infini de la Connaissance avec un grand C, la connaissance universelle. Notre part féminine, liée à notre âme, cherche à déverser cette sagesse dans ce monde. La mythologie celtique parle d’une déesse nommée Bohann qui aurait déversé l’eau du puis de la sagesse enterrée au pied de l’arbre maître, et aurait ainsi permis à cette sagesse de s’écoule sur Terre, donnant vie à la rivière Boyne en Irlande. La rivière l’aurait emportée au passage, symbolisant la mort à soi-même vécue lors de l’éveil pour accéder à une renaissance. Ce chemin d’éveil n’est pas forcément le choix de chacun et ceci est à respecter.


En effet, la voie de l’éveil peut être très remuante,  car lorsque l’eau de la Connaissance originelle nous traversant, elle va dans chaque recoin de nous pour purifier l’eau conservée dans nos cellules qui stockent des mémoires lourdes de traumas  Pour donner une image, c’est comme si notre puis personnel était un sceau contenant de la boue, représentant nos traumatismes ainsi que les émotions et croyances y relatives et qu’on y déverse une eau de Source cristalline provenant du puis de la sagesse. Le nettoyage se fera, mais durant un temps, le sceau sera rempli de boue qui remonte. Il s’agira alors, de la laisser sortir, et petit à petit, notre sceau sera purifié et contiendra également l’eau de Source. Pour cela, il est nécessaire d’accepter plusieurs choses :

1.      Que nous avons un sceau personnel

2.      Qu’il est rempli d’eau croupie, à cause du débordement des émotions ou qu’il est à sec car privé d’émotions mais rempli de vase collante au fond qui sont les traumas

3.      Accepter de regarder au fond du puis, même en ayant peur d’y trouver des monstres obscurs, c’est ce qu’on appelle traverser nos ombres

4.      Accepter que l’eau de Source existe et qu’elle se renouvelle en permanence dans une abondance infinie, ce que l’on peut nommer la foi

5.      Vouloir, désirer, choisir de purifier son puits personnel, que l’on peut définir comme accepter de prendre la responsabilité de ce que l’on vit.


Il s’agit alors de laisser la sagesse, l’eau pure, la lumière, l’énergie divine, nous nettoyer, comme une rivière qui décolle et emporte avec elle les émotions mal vécues et les engrammes qui en en résultent afin de nous ramener à un état de sagesse et de Connaissance non souillée par la connaissance humaine, celle avec un petit c q


Voilà ce que nous vivons au niveau planétaire, un déversage de lumière pure qui vient décoller tous ces miasmes, ce qui explique que par moment on peut se sentir boueux, alourdis, sales, rouillés. Il ne tient qu’à nous de ne pas se fermer en résistance à cette énergie, cette lumière, cette eau purifiante, mais à la laisser œuvrer à travers nous, a ne pas chercher à retenir tous ces déchets qui finiront par sortir de notre sceau personnel pour retourner au courant de la Vie qui se chargera de tout transformer. Nous vivons un moment opportun pour s’ouvrir encore plus à la sagesse de la Vie, la sagesse universelle, divine, la lumière, tout ça pour dire la même chose, pour définir une information originelle amenant un nouveau niveau de Conscience dans ce monde. Toutefois, ce n’est peut-être pas le destin actuel de chacun, il est donc important de respecter ce choix.


Cette purification nous permet d’être dans le flux, de vivre une vie plus fluide, plus facile où on se laisse non pas submerger ni couler, mais porter par le courant de la Vie avec un grand V, ce qui permet d’aller là où la vie nous porte vivre nos expériences et non où notre mental nous fait croire que nous devons aller. Le fameux lâcher-prise.

Une fois que cette eau coule en nous, qu’elle nous traverse, il devient de plus en plus compliqué pour notre mental de faire de la résistance, les barrages sautent, l’énergie circule, purifie et amène une nouvelle Conscience, de nouveaux points de vue plus élevés, plus sages permettant un angle de regard plus large. Ce qui nous créait des émotions fortes est maintenant relativisé, on cesse de pleurnicher et s’apitoyer sur notre sort, on ne peut plus contenir toute cette force émotionnelle refoulée et contenue derrière des barrages, on se libère tout ça. C’est une période qui peut nous ballotter, car tout remonte, comme dans l’image du sceau, la boue remonte et rempli tout l’espace, tant mentalement, qu’émotionnellement, que physiquement, avec des dépressions, des douleurs digestives, articulaire, ORL, des acouphènes, des fractures, des problèmes circulatoires qui reflète notre fluidité et tout pleins d’autres types de désagrément expriment tout ce qui a été réprimé. Car l’eau imprime et « ce que l’on réprime s’imprime. Ce à quoi l’on résiste, persiste. Ce qui nous affecte, nous infecte, ce que l’on fuit nous poursuit, alors que ce à quoi l’on fait face s’efface ».


Quand le mental veut contenir nos émotions, c’est l’air qui cherche à contenir l’eau et ça peut nous faire passer par un état gelé qui nous fige, nous paralyse, empêche les graines de pousser, on ne grandit plus, on stagne, on vibre bas. La montée du taux vibratoire réchauffe, permet de dégeler la glace. La Terre montant son taux vibratoire vit les mêmes expériences, se réchauffe, voit la fonte de la glace et certains déluges. Nous sommes embarqués avec elle dans cette aventure vibratoire, et, nous sommes aidés ainsi à décongeler nos mémoires pour les libérer, avec, sans vilain jeux de mots, toutes ces micro-ondes qui nous font décongeler nos mémoires que la rivière de la sagesse, la lumière vient purifier.


Nous pouvons enfin passer du rang de passager du bateau représentant notre humain, parfois en 3ème classe, en fond de cale, au capitaine, représentant notre âme munis d’un GPS, représentant notre Conscience, qui, même si on se perd en route, nous trouvera toujours un passage pour rejoindre notre chemin. Nous sommes le bateau qui est le véhicule autant que le corps, le passager, autant que l’humain qui vit l’expérience, autant le capitaine, l’âme aux commandes que la Conscience avec un grand C qui nous guide. La longue-vue qui nous permet de voir le nouveau monde au-delà des nuages et malgré la distance est notre 3ème œil, car il peut voir un endroit où nous ne sommes pas physiquement puisqu’il peut tout voir, au-delà du visible pour l’œil humain.


La vie, une fois notre émotion purifiée est plus fluide, tout circule mieux, on vogue sur un fleuve plus tranquille, moins ballotés par les énormes vagues émotionnelles qui nous submergeaient, nous cessons de nous noyer dans un verre d’eau.

Pour y parvenir, osons aller voir au fond de nos puits personnels, allons voir nos ombres, laissons l’eau du puit de la sagesse purifier tout ça. Nos eaux croupies deviendront des eaux profondes, un océan de Vie. Allons voir comment est bâtie notre personnalité, la croyance de ce que nous sommes, dans ce qui nous soutient, nos os, nos structures mentales, émotionnelles et physiques, qui reposent sur nos croyances, nos limites mentales, nos faux besoins, nos habitudes. Pour cela nous pouvons utiliser nos émotions comme des invitations à observer les miroirs que sont les autres pour nous aider à purifier nos eaux intérieures.


Ceci nous permettra de changer de bassin, tels des poissons devenus trop gros pour leur bassin, nous nous retrouverons dans un bassin plus vaste, en débutant, avec tout à expérimenter, comme des nouveau-nés.


Les barrages qui auront sautés seront à l’image des eaux permettant la naissance d’un bébé, et nous sortirons d’une matrice pour en découvrir une autre. 



L’ascension vibratoire demande un  état de Conscience élevée au-dessus des émotions vibrant bas, c’est l’Air au-dessus de l’eau, la purification de l’âme de tout ce qui l’alourdi dans le monde matériel, c’est là que l’on marche sur l’eau….

 
 
 

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